Il n’est pas toujours évident de se rendre compte de la quantité de sucre consommée. En effet, on distingue plusieurs variétés de sucres, notamment le saccharose (ou sucre de table), le glucose (le sucre utilisé par le corps), le fructose (retrouvé dans les fruits), le lactose (le sucre de lait)… Selon son origine, il est donc parfois difficile de le contrôler. Apprenez à les reconnaître !
Les sucres libres représentent les sucres ajoutés mais également les sucres présents dans les jus de fruits.
Les sucres naturellement présents et les sucres ajoutés ne diffèrent que par leur origine.
Les sucres dits « ajoutés » sont les sucres qui ont été ajoutés à une denrée. Ce sont donc les mêmes sucres que ceux mentionnés précédemment, excepté qu’ils sont introduits lors du processus de production, lors de la préparation ou lors de la consommation des aliments.
Les sucres, soit les mono- et les disaccharides, sont naturellement présents dans certains aliments. C’est le cas notamment dans les fruits, le lait ou le miel.
Sirops d’agave, rapadura, sucre de coco… les sucres « tendance » connaissent un succès croissant.
Mais quels sont réellement leurs avantages ? Edulcorants.eu fait le point sur ces sucres très « tendance ».
Non, le fructose comme le saccharose du sucre raffiné se retrouvent tous deux à l’état naturel.
Le miel est produit par les abeilles à partir du nectar de plantes à fleurs.
Le rapadura ou muscovado est issu de la canne à sucre : le jus est extrait puis évaporé par chauffage, la pâte dure est alors râpée.
Le sirop de datte est très courant en Israël, il est plus difficile à trouver en Europe. Il ressemble à du miel liquide foncé, tout en ayant le goût de la datte. Il est parfois appelé improprement « miel de dattes ».
Le sucre de coco est obtenu en tapant les fleurs sur les tiges du cocotier pour en récupérer la sève. Celle-ci est ensuite chauffée pour être concentrée afin d’obtenir un sirop.
Le sirop d’érable est obtenu par concentration de la sève récoltée à partir de certaines variétés d’érable. Il est très utilisé au Québec, qui assure à lui seul près de 70 % de la production mondiale.