Le diabète de type 2 progresse dans le monde. Il devrait toucher plus de 600 millions de personnes dans le monde en 2045. Consommés à la place du sucre, les édulcorants basses calories contribuent à garder la glycémie sous contrôle, tout en permettant de profiter de la saveur sucrée.
Une alimentation saine et variée est indispensable pour trouver toutes les substances nutritives dont l’organisme a besoin. Parallèlement, dans notre société du bien-être, le risque d’ingérer trop de calories et d’être, tôt ou tard, en excès de poids suite à une perturbation du bilan énergétique nous guette, a fortiori si nous bougeons peu.
L’aspartame est probablement l’édulcorant qui a été le plus étudié. Il a un pouvoir sucrant environ 200 fois plus élevé que le sucre (saccharose) et une valeur calorique de 4 kcal/gramme. Dans l’organisme, il est dégradé en composés que l’on retrouve dans une alimentation courante.
L’acésulfame-K ou acésulfame potassium fait partie des édulcorants basses calories. Son pouvoir sucrant est environ 200 fois plus élevé que le sucre de table (saccharose). Il n’apporte pas de calories et est souvent utilisée en remplacement du sucre.
L’édulcorant à base de la plante de stévia est de plus en plus utilisé. Il est cependant souvent associé au sucre. Pourquoi ? C’est surtout une question de goût…
Des experts internationaux se sont réunis à Bruxelles récemment à l’invitation de l’International Sweeteners Association (ISA), afin de présenter les dernières avancées scientifiques sur l’emploi des édulcorants basses calories dans l’alimentation et les modes de vie d’aujourd’hui.
La saveur sucrée est la seule qui soit appréciée de façon universelle dès la naissance. Pourtant, qu’elle provienne du sucre ou des édulcorants basses calories, elle est souvent au centre de bien des critiques.