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Diabète : comment vivre en bonne santé et heureux !

Vivre avec une maladie auto-immune invisible comme le diabète n’est pas rien. « Ce diagnostic fait l’effet d’une douche froide », explique Charlotte Pots, coach en diabète, elle-même porteuse d’un diabète de type 1 depuis l’âge de 14 ans.

« Vous devez immédiatement adapter votre alimentation, mesurer votre glycémie et compenser par une dose d’insuline adaptée… Les questions pratiques vous occupent tellement l’esprit que vous avez à peine le temps de penser à ce qui vous arrive. Beaucoup de diabétiques se sentent incroyablement seuls, avec toutes les conséquences que cela implique. »

Le diabète, un combat quotidien, Charlotte Pots

Il subsiste encore beaucoup d’idées fausses sur le diabète, car il existe beaucoup d’informations contradictoires sur le sujet. La nature invisible et chronique de la maladie la rend difficile à comprendre pour le monde extérieur. « De l’extérieur, les gens ne voient pas ce qui ne fonctionne pas à l’intérieur. Nous ne sommes pas cloués au lit », dit Charlotte Pots. « Mais ce n’est pas parce que vous n’êtes pas ‟malade” que vous êtes en bonne santé. Le diabète implique que vous devez tenir compte de votre taux de sucre (ou glycémie) tous les jours, sans jour de repos. Ajoutez à cela notre société où la pression est forte et il n’est pas surprenant que les dépressions soient plus fréquentes chez les diabétiques et provoquent, potentiellement, des burnouts1,2. »

Charlotte sait à quel point la vie des diabétiques peut être compliquée. « En 2016, la lumière proverbiale s’est éteinte. Pendant 23 ans, ma santé a exigé le meilleur de moi-même. Mon propre perfectionnisme et ma sensibilité m’ont empêchée d’avancer. Je n’en pouvais plus. Une période difficile, mais en même temps le début d’un fascinant parcours de découvertes. J’ai suivi une formation d’experte en santé orthomoléculaire et j’ai découvert ma mission la plus profonde : aider les diabétiques à retrouver la santé. Je voudrais épargner aux autres le parcours difficile et solitaire que j’ai connu. »

Une vie heureuse avec le diabète ? C’est possible !

« Chaque jour, je vois le combat des diabétiques. Ils n’ont pas encore accepté leur maladie, sont aux prises avec des baisses d’énergie ou une faible estime d’eux-mêmes, se sentent victimes ou sont en colère… »  

« C’est dommage, car une vie saine et heureuse avec le diabète est vraiment possible. En tant qu’experte en expériences et thérapeute orthomoléculaire, je guide et accompagne les gens afin qu’ils apprennent à se mettre en avant et à faire passer leur maladie en premier. Je veux que tout le monde sache qu’il existe d’autres solutions que la simple injection d’insuline en cas d’hyperglycémie. Vous pouvez également choisir de saisir l’occasion de reprendre votre santé en main. Je motive et j’inspire, mais le vrai changement ne peut venir que de vous. Et cela n’est possible que lorsque vous pensez en valoir la peine. Si vous ne vous aimez pas, vous ne pouvez pas avancer. Je suis ravie de vous aider dans ce domaine. »  

Des petits pas vers la réussite

Le suivi médical par les médecins et les éducateurs spécialisés dans le diabète reste essentiel, tout comme le contrôle du taux de sucre dans le sang. « Je suis convaincue qu’une approche globale est nécessaire », déclare Charlotte Pots. « Outre les médicaments nécessaires et les éventuelles injections d’insuline, faire des choix alimentaires sains et qui tiennent davantage compte des glucides peut vous aider à ne pas faire sans cesse des pics de glycémie. De petits ajustements dans votre mode de vie peuvent avoir de grands effets. Il ne faut pas non plus négliger l’aspect mental. Le stress est en effet désastreux pour une glycémie stable. Relancer la machine, c’est ça l’idée. Ma mission est d’inspirer le changement chez les gens. Je crois énormément au pouvoir du lien. Dans mes sessions en groupe, je vois sans cesse les clients se soutenir mutuellement et devenir amis. Pour grandir, il est très important de s’entourer de personnes ayant le même objectif : aller de l’avant au lieu de faire du sur place. Chaque pas – aussi petit soit-il – compte et vous rapproche de votre objectif : une vie heureuse avec le diabète. 

Découvrez ici plus d’info sur la lifestyle coach en diabète Charlotte Pots!

Références:

  1. Bădescu S.V. et al., J Med Life. 2016 Apr-Jun; 9(2): 120–125. https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4863499/
  2. Abdoli S. et al., J Diabetes Complications, 2020 Jul;34(7):107608. https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/32387179/

Mocktail Lazy Red Cheeks

L’influenceuse lifestyle An-Katrien Casselman (@ankatrien) partage avec nous, dans cet article invité, son vécu et les difficultés qu’elle rencontre au quotidien avec son diabète de type 1. En cette période de fêtes, elle a transformé son cocktail préféré, le Lazy Red Cheeks, en un mocktail à faible teneur en glucides adapté aux diabétiques. Santé !

Chaque année, à l’approche des fêtes de fin d’année, je me lance avec enthousiasme dans ma quête d’apéritifs, de snacks et de plats à faible teneur en glucides/sucres sur la toile. Puis je me dis : « Cette année, je vais vraiment faire quelque chose d’amusant et de créatif ! » Mais après avoir surfé pendant un certain temps, je suis toujours déçue. Il n’y a en effet pas grand-chose pour les diabétiques pour les fêtes ! Bien sûr, il y a plein de mocktails, mais qu’en est-il des sucres et des glucides ? Malheureusement, ils en sont toujours pleins ! Je me sens parfois un peu exclue. Et parfois, nous, les diabétiques, nous voulons boire autre chose qu’une coupe de champagne, n’est-ce pas ? Eh bien, aujourd’hui, je veux changer cela ! Je me suis penchée sur mon cocktail préféré, le « Lazy Red Cheeks », et je l’ai transformé en un mocktail à faible teneur en glucides. Avec l’équipe de sweeteners.eu, j’ai cherché les bonnes proportions pour faire un mocktail équilibré. J’espère vraiment que vous serez aussi enthousiaste que moi ! Bonne dégustation !

Ingrédients pour 1 mocktail :

  • 1 c. à s. de gouttes de stevia
  • 1 c. à s. de sirop de violette (fait maison)
  • 4 c. à s. de jus de citron vert
  • 6 framboises
  • 200 ml d’eau gazeuse
  • 1/2 verre de glace pilée

Préparation du sirop :

Nous allons commencer par le sirop de violette ! C’est le seul ingrédient qui contient encore un peu de sucre, mais « pas de sirop de violette, pas de Lazy Red Cheeks ». La recette du sirop a été allongée à l’eau, afin que le sirop soit plus dilué et contienne moins de sucre par portion. Pour une cuillère à café de sirop de violette, il faut 25 g de bonbons à la violette et 50 ml d’eau. Faites bouillir l’eau dans une casserole et laissez fondre les bonbons à la violette à feu doux. Continuez à bien remuer jusqu’à ce que les violettes aient complètement fondu.

Préparation du mocktail :

Choisissez un beau verre à cocktail et ajoutez les framboises, le jus de citron vert et les gouttes de stevia dans le verre. Écrasez maintenant légèrement les framboises à la fourchette et remuez bien. Ajoutez ensuite le sirop et mélangez bien. Enfin, ajoutez la glace pilée dans le verre et complétez avec l’eau pétillante.

Télécharger la recette ici!

Valeur calorique par verre = 35 kcal

6 g de sucre en moins (par rapport à la version sucrée)

COVID-19 : stop aux idées reçues !

Si le coronavirus circule partout dans le monde, les informations erronées sur le virus circulent tout autant. L’OMS fait une mise au point sur ces « fake-news » liées à la COVID-19, dont voici quelques extraits.

Les suppléments en vitamines et minéraux permettent-ils de guérir de la COVID-19 ?

Certains nutriments, comme les vitamines D et C, ainsi que le zinc, sont essentiels au bon fonctionnement du système immunitaire. Nous en avons donc besoin, prioritairement au travers d’une alimentation équilibrée et, si cela ne suffit pas, d’un apport complémentaire. Cependant, l’OMS précise bien qu’à l’heure actuelle, il n’y a pas d’orientation concernant l’emploi de suppléments en micronutriments comme traitement de la COVID-19.

Durant la pratique de l’exercice, peut-on porter un masque ?

L’OMS recommande de ne PAS porter de masque lors de l’exercice physique. Pourquoi ? Parce que le masque peut réduire l’aisance respiratoire. Notamment en raison de la transpiration, qui rend le masque plus rapidement humide, ce qui rend la respiration plus difficile, et favorise de surcroît le développement des micro-organismes. Pour l’OMS, la principale mesure pendant l’exercice est de garder la distance avec les autres.

Manger pimenté permet de lutter contre la COVID-19

Comme pour les infections bactériennes, que les piments ne préviennent pas, ces aliments ne permettent ni de prévenir ni de guérir la COVD-19. L’OMS rappelle qu’une alimentation équilibrée, une bonne hydratation, une activité physique régulière et un sommeil de qualité contribuent à un bon état de santé général, et que la meilleure protection contre le nouveau coronavirus est de respecter la distanciation et de se laver les mains soigneusement et régulièrement.

Boire de l’alcool protège contre la COVID-19 ?

Absolument pas ! l’OMS est très claire : non seulement l’alcool ne protège pas contre la COVID-19, mais sa consommation fréquente ou excessive peut augmenter les risques pour la santé.

Manger de l’ail aide-t-il à prévenir l’infection par le nouveau coronavirus ?

L’ail contient des composés qui ont une certaine activité contre les microbes. Cependant, précise l’OMS, rien ne prouve, dans le cadre de l’épidémie actuelle, que la consommation d’ail protège les gens contre le nouveau coronavirus.

Référence : OMS. Nouveau coronavirus (2019-nCoV) : conseils au grand public – En finir avec les idées reçues. Consulté le 17/11/2020.

Comment faire face aux kilos du confinement ?

Télétravail, grignotage, manger pour se faire plaisir… la pandémie de COVID-19 n’est pas une amie de la ligne. Comment s’y prendre pour lutter contre ces « kilos COVID » ?

Le surpoids concernait déjà un adulte sur deux en Belgique, et la pandémie de COVID-19 n’arrange pas les choses… Si certains attachent plus d’importance à manger sainement, nombreux sont celles et ceux qui ont pris du poids avec le confinement. En cause : la sédentarité accrue, mais aussi certains comportements : en effet, le stress est connu comme un facteur pouvant augmenter la prise de nourriture. Le stress accroît l’attrait pour des aliments sucrés, riches en calories, qui sont consommés pour se réconforter. Alors voici quelques conseils pour lutter contre ces « Corona-kilos » !

Diluer les calories

Pour lutter contre la prise de poids, comme pour favoriser la perte des kilos superflus, il n’y a pas de miracle : cela passe par une réduction des calories ingérées, par rapport aux calories dépensées. L’équation est simple en théorie, mais toute la difficulté consiste à manger moins de calories, tout en continuant à manger… Car un régime qui engendre trop de privation et la faim n’est pas tenable dans le temps.

Pour ce faire, il est conseillé d’agir sur la densité énergétique, c’est-à-dire la quantité de calories par 100 g ou 100 ml de denrée : plus elle est faible, plus cela facilite la réduction de l’apport calorique, sans se priver de manger et de boire.

Voici comment réduire cette densité énergétique :

  • Éviter les aliments riches en graisses et/ou en sucre
  • Consommez beaucoup de légumes, crus et cuits
  • Privilégiez les aliments riches en fibres : légumineuses, céréales complètes, pain complet ou intégral…
  • Buvez de l’eau, du café, du thé, des boissons light sans sucres/zero à la place des boissons sucrées
  • Dans les préparations, remplacez le sucre par un édulcorant, sans compenser avec plus de matières grasses.

Combien de calories j‘évite avec les édulcorants ? Réponse dans cette infographie

Faim ou appétit ?

Connaissez-vous la différence entre la faim et l’appétit ? La faim correspond à réel besoin de nourriture, alors que l’appétit, c’est une envie de manger, sans nécessairement avoir réellement faim. Or, on tend à confondre les deux… Si on effectue 3 repas principaux par jour, il n’est pas possible d’avoir faim entre les repas : la prise de nourriture en dehors des repas est alors une envie, mais n’a rien de physiologiquement nécessaire. On craque souvent pour des produits sucrés par envie. Dans ce cas, les édulcorants permettent de limiter les dégâts puisqu’ils permettent de profiter de la saveur sucrée, sans les inconvénients du sucre.

Comment les édulcorants agissent-ils sur notre appétit ? Voir la vidéo

Bouger

L’activité physique représente une excellente manière de dépenser plus de calories. Cela peut passer par la pratique régulière d’un sport, mais aussi par l’incorporation de l’activité physique dans on quotidien, et la lutte contre la sédentarité. Tout est bon pour bouger, à l’intérieur comme à l’extérieur : escaliers, marche, exercice, jeux actifs…

Mais sachez que si l’activité physique permet de dépenser des calories, il y a un revers : elle peut amener l’organisme à vouloir récupérer les calories dépensées. Comment ? En mangeant plus. Veillez dès lors ne pas compenser en mangeant plus parce que vous vous dépensez plus !

Lire aussi : Confinement: comment maintenir une activité physique!

Confinement : comment maintenir une activité physique ?

La pandémie de COVID-19 qui oblige à passer plus de temps chez soi et à être plus souvent assis. Cette sédentarité accrue, ce n’est pas bon pour la santé. Pour tenter d’y remédier, l’OMS à lancé sa campagne «Be Active », dont on vous livre l’essentiel.

On le sait trop bien : bouger, c’est bon pour le corps et l’esprit. L’activité physique est bénéfique « de la tête au pied » : elle réduit le risque de nombreuses maladies (cardiovasculaires, diabète de type 2, divers cancers, dépression, déclin cognitif…) et favorise la solidité osseuse, la force musculaire, l’équilibre et la souplesse. Mais avec la pandémie de COVID-19, bouger devient moins évident. L’OMS, au travers de sa campagne « Be Active », donne quelques conseils pour rester physiquement actif chez soi, que nous résumons comme suit :

  • Ne restez pas trop souvent assis : faites une pause de 3 à 5 minutes toutes les 20 à 30 minutes, pour faire des mouvements faciles : marcher, s’étirer, monter et descendre des escaliers… vous pouvez aussi vous étirer tout en vous déplaçant.
  • Intégrez l’activité physique dans votre routine quotidienne : prévoyez une activité physique ou une pause active, par exemple en suivant un cours en ligne. Notez-le dans votre agenda
  • Bougez en famille ou avec vos amis : c’est l’occasion de passer du temps ensemble. Jeux à la maison, promenades à pied, à vélo…
  • Fixez des objectifs : déterminez le type d’activité, le moment de la journée et le temps consacré. Notez vos progrès.

L’activité physique fait-elle perdre du poids? Je veux savoir

Quels sont les repères de l’OMS ?

  • De 5 à 17 ans :  activité modérée à intense au moins1 h par jour. Il y a des bénéfices supplémentaires pour la santé à pratiquer plus de 60 minutes d’activité physique chaque jour.
  • Adultes : au moins 150 minutes d’activité physique modérées ou au moins 75 minutes par semaine. Pour des bénéfices santé supplémentaires, il faudrait atteindre 300 minutes d’activité physique modérée par semaine. Des activités de renforcement des principaux groupes musculaires devraient être pratiquées au moins deux jours par semaine.

A lire aussi : je suis sportif et en excès de poids, est-ce grave ?

Référence : OMS. #HealthyAtHome – Activité physique. Consulté le 17/11/2020

Confinement : bons plans dans les placards

Comment optimiser sa logistique alimentaire lors de la pandémie de COVID-19 et en période de confinement plus ou moins important ? Quelques conseils venus de la American Society for Nutrition.

Pour les approvisionnements

  • Planifier ses courses pour une période de 5 jours
  • Privilégier les céréales complètes, les légumes, les fruits
  • Limiter les portions de viande

Des options qui se conservent

  • Fruits : pommes, poires, agrumes
  • Fruits séchés, surgelés ou en conserve
  • Légumes surgelés (non préparés) ou en conserve
  • Légumineuses sèches ou en conserve
  • Fruits à coque (noix…) et graines

Cuisiner et savourer

  • Préférer des plats faits-maison équilibrés aux plats préparés riches en graisses
  • Impliquer les enfants dans la préparation des repas
  • Essayer de nouvelles recettes qui ne comportent pas d’ingrédients trop nombreux ou difficiles à trouver
  • Prendre ses repas à table, ensemble, sans télévision

Sécurité

  • Se laver régulièrement les mains au savon
  • Les plats à emporter doivent être mangés rapidement tant qu’ils sont chauds
  • S’il y a des restes, les mettre rapidement au frigo et les réchauffer suffisamment ensuite

Pour trouver des recettes craquantes avec peu ou pas de sucres ajoutés : c’est par ici !

Référence : American Society for Nutrition, March 18, 2020. Consulté le 17/11/2020

COVID-19 : comment manger sainement ?

L’Organisation Mondiale de la Santé fait le point sur les véritables priorités et les bons gestes pour adopter une alimentation saine, ce qui peut influencer la capacité à prévenir et à combattre les infections et à en guérir.

Zinc, vitamine D, oméga-3, antioxydants… plusieurs nutriments et aliments peuvent jouer un rôle dans le fonctionnement de l’immunité. Face à la menace de la COVID-19, de nombreux messages sur l’alimentation et les compléments alimentaires circulent, et il n’est pas aisé de s’y retrouver. D’où l’intérêt de la prise de parole de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) dans ce domaine, qui remet les pendules à l’heure.

Oui, manger sainement est utile pour être dans les meilleures conditions de lutte contre le virus. Cependant, l’instance de santé précise clairement qu’aucun aliment ni complément nutritionnel ne permet de prévenir ou de guérir la COVID-19. Bien se nourrir est aussi utile pour réduire les risques d’autres problèmes de santé, comme l’obésité, le diabète, les maladies cardiovasculaires et certains cancers.

Les 7 conseils de l’OMS

  1. Alimentation variée avec des fruits et légumes: des céréales complètes et légumineuses chaque jour, beaucoup de fruits et légumes et quelques aliments d’origine animale, comme la viande, le poisson, les œufs et le lait.
  2. Moins de sel: max. une cuillère à café de sel par jour, en tout. Limiter les sauces et condiments salés, pas de salière à table, privilégier les herbes et les épices.
  3. Peu de matières grasses: préférer les huiles (ex. olive) au beurre, la volaille et le poisson à la viande rouge, enlever le gras de la viande, limiter la consommation de viandes transformées (comme la charcuterie). Préférer la cuisson à l’eau ou à la vapeur à la cuisson dans la friture.
  4. Limiter le sucre: limiter les bonbons et les boissons sucrées, préférer les fruits aux en-cas sucrés. Vérifier que les desserts sont pauvres en sucre.
  5. S’hydrater: boire de l’eau en suffisance
  6. Alcool : prudence! L’alcool ne protège pas de la COVID-19 et peut être dangereux pour la santé
  7. Allaiter: pour le nourrisson, le lait maternel est l’aliment idéal, et il contient notamment des anticorps.

Lire aussi: Confinement, les bons plans pour le placard!

Référence : OMS. #HealthAtHom : manger sainement – Consulté le 17/11/2020

Cheesecake aux myrtilles

Simply Morane vous propose aujourd’hui encore une recette gourmande tout à fait adaptée pour les diabétiques ! Une recette de cheesecake light avec très peu de matières grasses, de la poudre au sucralose pour sucrer et des myrtilles. A déguster bien frais !

Ingrédients (6 à 8 portions)

  • 3 œufs
  • 200 g de fromage frais light
  • 300 g fromage blanc 0%
  • 15 g de sucralose (au lieu de 150 g de sucre dans la recette classique)
  • 1 cuillère à café d’arôme vanille liquide
  • 20 g fécule de maïs
  • 150 g myrtilles (surgelées ou fraiches)

Saviez-vous que le sucralose est le seul édulcorant obtenu à partir du sucre?

Pourquoi manger moins de sucre et moins de calories? Un adulte sur 2 est en surpoids.

Préparation

  • Préchauffer votre four à 180 degrés.
  • Dans un grand bol mélanger les œufs avec la poudre au sucralose et l’arôme de vanille.
  • Délayer la fécule de maïs dans un petit pot/tasse avec 2 cuillères à soupe de fromage blanc.
  • Ajouter au mélange œufs/sucralose le fromage blanc, le fromage frais et la fécule diluée.
  • Disposer la préparation dans un moule recouvert de papier sulfurisé ou bien beurré (par ex. un moule de 20 cm de diamètre).
  • Enfourner la préparation pendant 15 minutes.
  • Ajouter les myrtilles directement au-dessus du gâteaux.
  • Laisser cuire encore 15-20 minutes.
  • Laisser refroidir et déguster !

Télécharger ici la recette

Valeur calorique par portion = 109 kcal

25 g de sucre en moins par portion (par rapport à la version sucrée)

Diabète : il faut des réponses aux questions

Que ce soit dans le cadre de la prévention comme dans celui du traitement, le diabète suscite de nombreuses questions, auxquelles l’Association du Diabète répond.

À l’ère digitale, l’accès aux informations n’a jamais été aussi facile. Mais qu’en est-il de la fiabilité des informations ? C’est une question cruciale à se poser. Ainsi, le site www.edulcorants.eu a pour vocation de dispenser des informations fiables sur la saveur sucrée (sucres et édulcorants).

L’Association du Diabète (ABD) est là pour vous

Les personnes confrontées au diabète trouveront un point de contact précieux auprès de l’Association du Diabète, qui apportera des réponses fiables à toutes les questions autour du diabète.

« Être à l’écoute de nos membres, les soutenir et les aider dans la compréhension des mécanismes de la maladie via une permanence téléphonique, différentes publications, telle est la mission de l’Association du Diabète. Les traitements ou encore les innovations technologiques liées à l’autocontrôle ont considérablement évolué ces dernières années et nous recevons énormément de questions. C’est ce qui a motivé notre décision d’engager une infirmière spécialisée en diabétologie. Cette démarche se veut complémentaire à la prise en charge médicale et à l’éducation du patient qui restent bien entendu la prérogative des équipes soignantes. » Nicole Pirotte (Porte-parole de l’Association du Diabète)

Plus d’info sur https://www.diabete.be/

Journée mondiale du diabète : les infirmières à l’honneur

Le rôle des infirmières et des autres professionnels de la santé est de plus en plus important dans la gestion de l’impact de la maladie diabétique, qui continue à augmenter dans le monde.

L’infirmière joue un rôle clé dans :

  • Le diagnostic précoce de la maladie pour assurer un traitement rapide
  • La formation à l’autogestion et le soutien psychologique aux personnes atteintes de diabète pour aider à prévenir les complications.
  • La reconnaissance des facteurs de risque du diabète de type 2 pour aider à prévenir la maladie

À l’occasion de la journée mondiale du diabète 2020, l’IDF clame haut et fort que l’enseignement et le financement sont clés pour soutenir les professionnels de la santé dans la lutte contre le diabète.

Le diabète de type 2 est une affection qui peut être prévenue

On vous explique en images comment prévenir le passage au diabète.

Pascale Carette, Coordinatrice de l’équipe d’éducation aux Cliniques Universitaires St Luc et Conseil Infirmier de l’Association du Diabète.

« Cette année, la journée mondiale du diabète permet de mettre à l’honneur le personnel infirmier. Savez-vous que 59% des professionnels de la santé sont des infirmier(e)s ? Ils/elles font naturellement partie intégrante des équipes multidisciplinaires prenant en charge les personnes diabétiques. 

Ces personnes dévouées et humaines, patientes et altruistes, aux connaissances scientifiques pointues, ont un rôle central et important dans l’éducation thérapeutique de la personne diabétique. Ce sont elles qui vont amener le patient à devenir acteur de ses soins et à maintenir un projet de vie. Elles vont lui apprendre, outre les techniques à appliquer, à gérer les doses d’insuline à s’injecter en fonction, notamment, des glucides, des sucres ingérés dans l’alimentation et qui ont, inévitablement, un impact sur la glycémie. Pensez à les appeler, elles sont là pour vous aider et vous soutenir ! »

Le monde infirmier en quelques chiffres
Source : OMS

Diabète et édulcorants : 5 questions pour tout savoir. Je regarde l’ebook!

Attention aux sucres ! L’infirmière va vous expliquer

L’annonce d’un diabète résonne comme une mauvaise nouvelle dans la tête. Mais rapidement, les choses se mettent en place, et l’infirmière explique. Témoignage d’un patient.

Lorsqu’une personne apprend par exemple qu’elle va devoir être traitée par des injections d’insuline, l’infirmière est en première ligne pour la rassurer et la guider. Eh oui, il faudra faire attention aux sucres… Mais sans pour autant renoncer à tous les plaisirs sucrés !

 Peut-on prendre un dessert en cas de diabète

Le témoignage d’un patient diabétique

Monsieur Daniel Duvivier, patient diabétique

« Un hiver difficile, le mal-être permanent, des symptômes évidents et une prise de sang qui confirme cette crainte latente depuis quelque temps. Première visite chez le diabétologue : « Eh bien vous allez passer à l’insuline, trois injections par jour, régime et attention aux sucres, l’infirmière va vous expliquer.

J’arrive près de cette dame sympathique et souriante qui sent tout de suite mon désarroi et m’explique les choses simplement. Pourquoi j’en suis là, comment y remédier, ce que je dois m’injecter et la bonne façon de m’y prendre. Progressivement, elle me rassure, me conseille et me dit que je ne suis pas seul face au diabète, elle est là pour m’aider.

Je ne vous remercierai certainement jamais assez, Madame, de m’avoir permis ce jour-là de rentrer serein et confiant. »

Brownies au beurre de cacahuètes

Vos invités n’en croiront pas leurs papilles ! Ces brownies sans sucres ajoutés proposés par la blogueuse Ellen, de Kokerellen, sont tout simplement craquants ! Ils ont tout de la recette originale : l’équilibre parfait entre cake & fudge, un goût incomparable de chocolat et la touche gourmande du beurre de cacahuètes.

Ingrédients (pour 16 brownies): 

  • 130 g de farine fermentante
  • 75 g de cacao en poudre 
  • 125 g d’édulcorant à base de tagatose 
  • 230 g de beurre 
  • 3 œufs 
  • 1 c. à. c. rase d’extrait de vanille 
  • 50 g de beurre de cacahuètes (naturel

Sucres naturellement présents, sucres ajoutés, quelles différences ?

Caraméliser sans sucre, c’est possible !

Préparation: 

  • Préchauffer le four à 160°C. 
  • Faire fondre le beurre dans une petite poêle ou au micro-ondes. Laisser refroidir légèrement. 
  • Tamiser la farine et le cacao dans un plat. Ajouter éventuellement une pincée de sel. Mélanger pour avoir une masse bien homogène. 
  • Mettre l’édulcorant dans un autre bol et y ajouter les œufs. Battre au fouet. Ajouter le beurre fondu et l’extrait de vanille. Mélanger au fouet jusqu’à l’obtention d’une pâte homogène. 
  • Mélanger ensuite le contenu des deux bols ensemble à la spatule jusqu’à ce que le résultat soit bien homogène. 
  • Répartir la pâte dans un moule carré recouvert de papier sulfurisé. Egaliser la pâte. Répartir ensuite le beurre de cacahuètes par petites touches et faire des petits dessins à la surface avec un couteau. 
  • Enfourner 25 à 30 minutes. Vérifier la cuisson : la pâte ne doit plus bouger quand vous secouez légèrement le moule. 
  • Laisser refroidir à température ambiante avant de servir ! 

Valeur calorique par brownie = 199 kcal 

16 g de sucre en moins par brownie (par rapport à la version sucrée) 

Téléchargez ici la recette!

Des questions sur le diabète ? Un poids sain relève du défi ? Ou tout simplement besoin d’inspiration pour manger moins sucré ?