Les nouvelles recommandations alimentaires développées au Royaume-Uni, le « Eatwell Guide », accordent une place aux édulcorants en tant qu’alternatives aux sucres ajoutés dans les aliments et, surtout, les boissons.
Sur base des preuves actuelles, les édulcorants basses calories peuvent être un outil pour les personnes activement engagées dans la perte et le maintien du poids.
Pouvoir bénéficier de la saveur sucrée tout en limitant l’apport calorique a-t-il un intérêt ? Oui, que ce soit pour contrôler l’apport en sucres et en calories, mais aussi, et ce n’est pas rien, se faire plaisir !
De nombreuses données convergent pour dire que le fait de remplacer le sucres dans les aliments et boissons par des édulcorants basses calorie a des effets bénéfiques sur le poids et la masse grasse.
Oui, mais en raison de leur moindre poids, les enfants atteignent la dose journalière admissible plus rapidement que les adultes.
Bien qu’ils n’apportent pratiquement aucune calorie, les édulcorants intenses sont souvent associés à un plus grand appétit et une envie accrue de sucré. Les recherches montrent le contraire.
Le diabète de type 2 progresse dans le monde. Il devrait toucher plus de 600 millions de personnes dans le monde en 2045. Consommés à la place du sucre, les édulcorants basses calories contribuent à garder la glycémie sous contrôle, tout en permettant de profiter de la saveur sucrée.
Une alimentation saine et variée est indispensable pour trouver toutes les substances nutritives dont l’organisme a besoin. Parallèlement, dans notre société du bien-être, le risque d’ingérer trop de calories et d’être, tôt ou tard, en excès de poids suite à une perturbation du bilan énergétique nous guette, a fortiori si nous bougeons peu.
L’acésulfame-K ou acésulfame potassium fait partie des édulcorants basses calories. Son pouvoir sucrant est environ 200 fois plus élevé que le sucre de table (saccharose). Il n’apporte pas de calories et est souvent utilisée en remplacement du sucre.
L’édulcorant à base de la plante de stévia est de plus en plus utilisé. Il est cependant souvent associé au sucre. Pourquoi ? C’est surtout une question de goût…
Des experts internationaux se sont réunis à Bruxelles récemment à l’invitation de l’International Sweeteners Association (ISA), afin de présenter les dernières avancées scientifiques sur l’emploi des édulcorants basses calories dans l’alimentation et les modes de vie d’aujourd’hui.
L’aspartame a récemment défrayé la chronique, parce qu’il a été classé comme « cancérogène possible ». Pourtant, l’OMS a simultanément réaffirmé sa sécurité d’utilisation.