Une étude américaine a récemment suggéré que les boissons light seraient « encore plus mauvaises » que leurs homologues sucrées, parce qu’elles seraient associées à un risque plus élevé d’accident vasculaire cérébral et de démence.
Bien qu’il s’agisse d’une étude d’observation, qui ne permet donc en rien d’établir un lien de cause à effet, certains médias ont relayé des informations alarmistes. D’autres, au contraire, expliquent pourquoi il n’y a pas lieu de s’alarmer!
L’International Sweeteners Association (ISA) apporte également des précisions par rapport à la portée de cette étude, notamment le fait qu’elle n’apporte ni preuve d’une relation causale, ni mécanisme plausible entre les boissons light et les AVS et le démence.